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Accord budgétaire : appel d’alerte face à la précarité

Dans un extrait de l’émission « Passe » diffusée par la RTBF, Christine Mahy (secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté) tire la sonnette d’alarme : le dernier accord budgétaire fédéral détourne le regard des vrais responsables des inégalités pour cibler ceux qui souffrent le plus — les chômeurs, les précarisés, les plus vulnérables.

« Le pauvre est devenu une cible »

Christine Mahy dénonce des politiques qui, loin de soutenir les plus faibles, les mettent dans le viseur : le discours et les mesures budgétaires en cours visent davantage à contrôler et sanctionner les chômeurs qu’à offrir des réponses concrètes à la crise sociale. C’est une attaque directe contre la dignité et la solidarité.


Un extrait essentiel pour comprendre ce qui se joue aujourd’hui: un choix de société, un test de notre capacité à rester soudé·e·s derrière les plus fragiles. Restez vigilants et mobilisé·e·s.



Une réforme budgétaire aux conséquences lourdes

Dans une période où l’inflation, la hausse du coût de la vie et la crise du logement frappent fort, imposer un fardeau supplémentaire aux plus fragiles n’est pas seulement injuste — c’est dangereux. Ces mesures risquent d’aggraver la pauvreté, d’alimenter l’exclusion et de fragiliser encore davantage notre cohésion sociale.


Pourquoi c’est un débat citoyen

Ce n’est pas seulement une question de chiffres ou de budget c’est une question de justice. Faire reposer l’effort sur ceux qui ont déjà peu, c’est nier toute ambition de solidarité et de responsabilité collective.

En tant que citoyen·ne·s, nous devons refuser que la précarité soit instrumentalisée comme variable d’ajustement.

Agissez avec nous : partagez et signez la pétition

Si ce que vous venez d’écouter et de lire vous interpelle, ne restez pas spectateur·rice.Notre voix collective est notre force — et nous avons besoin de vous pour faire bouger les lignes.

Signez la pétition pour refuser que la précarité devienne une variable d’ajustement :



Partagez cet article autour de vous : chaque partage ouvre les yeux d’une personne de plus, renforce la pression citoyenne et donne du poids à notre action.

Ensemble, nous pouvons défendre une société plus juste, plus solidaire et plus humaine. Merci pour votre soutien.

5 commentaires


Nathan Bouckenooghe
Nathan Bouckenooghe
il y a 2 jours

Nous ne pouvons pas attendre des gouvernements de changer la politique qu'ils mènent depuis toujours.


Nous n'avons jamais obtenu quoi que ce soit en demandant, ni par des pétitions, ni par des manifestations, car tous nos droits nous les avons obtenus par la force !


Notre énergie n'est pas infinie, si nous nous battons pour pleins de petits sujets, même si nous arrivons à gagner une bataille ou deux, c'est la guerre que nous perdrons !


Il nous faut nous concentrer sur la bataille décisive : la fin du système représentatif et le début de la démocratie, réelle, directe et sans rien qui ne lui soit supérieur, ni des règles, ni des représentants, ni l'économie !


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Nathan Bouckenooghe
Nathan Bouckenooghe
il y a 12 heures
En réponse à

Il faut faire la distinction entre deux choses, sortir de l'emprise et faire démocratie.


L'un ne va pas sans l'autre, nous ne pourrons jamais batir une démocratie tant qu'on continue de croire qu'on y est ou qu'on y a déjà été.


Sortir de l'emprise ça veut dire se réapproprier les sujets, redéfinir correctement les mots, sortir des dogmes et des croyances, changer nos habitudes, etc ... Il y a un vrai travail à faire à ce niveau-là pour permettre de bâtir quelque chose de solide.


Ensuite on peut commencer à construire une autre façon de faire société, organiser la prise de décisions collective au travers de débat et de votes évolutifs, permettre aux différents échelons d'avoir leur autonomie sur les…

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blaise.agnello
il y a 3 jours

N'hésitez pas de nous faire part de vos avis et commentaires sur ce sujet important de société qui est d'actualité en Belgique depuis plusieurs semaines !

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